- Jésus qui prépare le petit-déjeuner ! Ils en ont eu de la chance, ces pêcheurs de Tibériade !
- Présenté comme cela, oui ! Mais on voit bien que c’est une façon de nous dire que désormais Jésus est présent avec nous par le repas eucharistique.
- Jésus enfonce un peu le clou, avec Pierre, non ? Lui demander trois fois : « Pierre, m’aimes-tu » ! Comme s’il fallait une triple affirmation pour effacer le triple reniement.
- Moi, je trouve ça plutôt positif, cette façon d’éclaircir le non-dit : Pierre et Jésus ne s’étaient pas expliqués depuis cette fameuse nuit ! Et il faut bien assurer l’avenir. Là encore, c’est une façon de nous dire comment le Christ se donnera désormais à rencontrer : par son Eglise et par les tâches pastorales.
- Pierre et Jean, ils font toujours la course ! Pour se rendre au tombeau le matin de Pâques, c’est Jean qui avait couru le plus vite possible. Mais là, Pierre est le plus rapide, en se jetant à l’eau.
- Oui, ce sont des fougueux. L’Eglise a été confiée à des sportifs !
- C’est sûr qu’on ne peut pas l’accuser d’immobilisme, du moins à ses débuts…