« Quel homme peut découvrir les intentions de Dieu ? Qui peut comprendre les volontés du Seigneur ? »
La liturgie de la Parole prévient : Il a « envoyé d’en haut son Esprit Saint ». C’est l’Esprit qui fera découvrir à Philémon qui est vraiment Onésime : « Un frère bien-aimé ».
C’est l’Esprit qui nous fait adhérer au Christ quand nous célébrons l’Eucharistie.
C’est l’esprit qui nous donne de nous attacher à lui, comme lui-même s’est attaché au Père.
Etre son disciple, c’est prier pour « qu’au milieu des changements de ce monde nos cœurs s’établissent vraiment là où sont les vraies joies », et croire cela possible.
La confiance de l’Eglise affermit la nôtre. L’Eglise n’a pas à prêcher un optimisme naïf, elle est en charge de l’espérance du monde.
Elle témoigne de « la grâce qui coûte » (Dietrich Bonhoeffer), celle dont parle Jésus